MON OCCUPATION PRÉFÉRÉE
Avi Mograbi
176 pages, 16 €
ISBN 978-2-35096-103-3
En 1997, il a appris à surmonter sa peur d'un ancien criminel de guerre. En 1999, il a entrepris une spéculation financière, mais n'a réussi qu'à se disputer avec son voisin. En 2002, il a arpenté Tel Aviv en août, avant l’explosion, défiant les protestations d'une population hostile à sa caméra. En 2005, il s'est laissé pousser les cheveux pour jouer le retour de Samson. En 2008, il a chanté des chansons tristes et a créé des masques numériques. En 2012, il est entré dans un jardin, en quête d'un Moyen-Orient qui n'est plus et n'a peut-être jamais été.
C'est Avi Mograbi, le personnage cinématographique inventé par Avi Mograbi.
Mon occupation préférée le rencontre à Venise, à l’issue de la projection de Z32 ; le retrouve à Paris pour parler de sa jeunesse et de ses premiers films ; puis lui rend visite à Tel Aviv, le long de la route 433, dite « Apartheid road », où la conversation sur le cinéma s'entrelace avec les lieux visités et l'histoire d'Israël.
L’ensemble de ces voyages et de ces entretiens menés par Eugenio Renzi dessine l’itinéraire d’un grand cinéaste, d’un infatigable inventeur de formes et d’une conscience politique majeure de notre temps.
Avi Mograbi
176 pages, 16 €
ISBN 978-2-35096-103-3
En 1997, il a appris à surmonter sa peur d'un ancien criminel de guerre. En 1999, il a entrepris une spéculation financière, mais n'a réussi qu'à se disputer avec son voisin. En 2002, il a arpenté Tel Aviv en août, avant l’explosion, défiant les protestations d'une population hostile à sa caméra. En 2005, il s'est laissé pousser les cheveux pour jouer le retour de Samson. En 2008, il a chanté des chansons tristes et a créé des masques numériques. En 2012, il est entré dans un jardin, en quête d'un Moyen-Orient qui n'est plus et n'a peut-être jamais été.
C'est Avi Mograbi, le personnage cinématographique inventé par Avi Mograbi.
Mon occupation préférée le rencontre à Venise, à l’issue de la projection de Z32 ; le retrouve à Paris pour parler de sa jeunesse et de ses premiers films ; puis lui rend visite à Tel Aviv, le long de la route 433, dite « Apartheid road », où la conversation sur le cinéma s'entrelace avec les lieux visités et l'histoire d'Israël.
L’ensemble de ces voyages et de ces entretiens menés par Eugenio Renzi dessine l’itinéraire d’un grand cinéaste, d’un infatigable inventeur de formes et d’une conscience politique majeure de notre temps.
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