
EST-CE AINSI QUE LES HOMMES VIVENT ? Cahier de doléances contemporain
Luce Faber (collectif)
144 pages, 12 €
ISBN 978-2-35096-064-7
Ce livre est un outil anti-stratégie du choc. Celui de la « crise », qui utilisée pour nous tétaniser, nous oblige à accepter leurs solutions, la destruction de ce qui fait lien dans nos sociétés.
Ces doléances réunies de juin 2010 à septembre 2011, juste avant la récession, permettent de savoir qu’il y a des alternatives à la rigueur, d’autres manières d’agir envisageables, d’autres nécessités à mettre en oeuvre. En bref que les peuples, les individus ne sont pas obligés de tout accepter sans penser qu’ils ont, non seulement le droit de penser mais, la nécessité de le faire pour dire ce qui ne va pas et d’affirmer que ce n’est pas le poids de la dette qui permet de le résumer. D’affirmer que ce n’est pas le problème.
À partir de cette parole brute, il s’agit de cerner, pas à pas, des situations communes ; ce qui ne va plus dans nos vies affectées par la cruauté de politiques déshumanisantes, au travail, dans les écoles, dans les syndicats et les partis politiques, dans nos rues, dans les cafés, dans les fêtes, dans les arts, dans les préfectures et dans la loi. Face à ceux qui soutiennent que le there is no alternative libéral est indépassable, ce livre propose de débattre sur ce qui doit changer. Il renoue avec l’expérience d’un temps devant nous, pour projeter et faire advenir collectivement de nouveaux imaginaires sociaux.
Coédition Excès / Les Prairies ordinaires
Luce Faber (collectif)
144 pages, 12 €
ISBN 978-2-35096-064-7
Ce livre est un outil anti-stratégie du choc. Celui de la « crise », qui utilisée pour nous tétaniser, nous oblige à accepter leurs solutions, la destruction de ce qui fait lien dans nos sociétés.
Ces doléances réunies de juin 2010 à septembre 2011, juste avant la récession, permettent de savoir qu’il y a des alternatives à la rigueur, d’autres manières d’agir envisageables, d’autres nécessités à mettre en oeuvre. En bref que les peuples, les individus ne sont pas obligés de tout accepter sans penser qu’ils ont, non seulement le droit de penser mais, la nécessité de le faire pour dire ce qui ne va pas et d’affirmer que ce n’est pas le poids de la dette qui permet de le résumer. D’affirmer que ce n’est pas le problème.
À partir de cette parole brute, il s’agit de cerner, pas à pas, des situations communes ; ce qui ne va plus dans nos vies affectées par la cruauté de politiques déshumanisantes, au travail, dans les écoles, dans les syndicats et les partis politiques, dans nos rues, dans les cafés, dans les fêtes, dans les arts, dans les préfectures et dans la loi. Face à ceux qui soutiennent que le there is no alternative libéral est indépassable, ce livre propose de débattre sur ce qui doit changer. Il renoue avec l’expérience d’un temps devant nous, pour projeter et faire advenir collectivement de nouveaux imaginaires sociaux.
Coédition Excès / Les Prairies ordinaires